Un visage dégradé comme au vitriol ouvre la suite de sept images crées par Claude Baudin pour rendre compte de sa lecture des Lamentations de la Vieille Femme de Beare.
Ce texte si ancien qui nous frappe au présent, nous l’avons lu dans la traduction de l’irlandais ancien écrite par Derry O’Sullivan, Jean Yves Berriou et Martine Joulia, parue aux Editions de l’Escampette, en Poitou.
Voici l’incipit:
Jusant me vient, comme à la mer;
ma vie reflue , en jaunissant;
je peux pleurer, je peux pleurer,
lui joyeux s’avance vers sa proie.
Claude Rouquet, l’éditeur, n’a pas de site, mais vous pouvez visiter le site du Centre Régional du Livre de Poitou Charentes, et regarder le portrait que lui ont consacré les documentaristes des Yeux d’Izo.