Du 16 avril au 9 mai, la Baraque de Chantier expose ses livres d’artiste à la librairie Le Bel Aujourd’hui. C’est sur les tables de cette librairie que nous avions déniché les Lamentations de la vieille femme de Beare, le livre qui nous a lancées dans l’aventure éditoriale de Figures Fugitives. Nous exposerons l’ensemble du travail éditorial de la Baraque de Chantier, les images originales de Figures Fugitives et de l’Index de l’Écaille – cyanotypes de Claude Baudin, gravures de Philippe Dessein – ainsi que la série complète des Épaves de Beg Vilin (cyanotypes).
Nous serons présentes le plus souvent possible, le mercredi matin et les après-midi à partir de 16h30. Le vernissage de l’exposition aura lieu en fin d’après-midi le vendredi 24 avril.
Sur le lieu de l’exposition, nous proposerons un atelier d’écriture le samedi 18 avril au matin. Nous essaierons de mettre les participants dans la situation dans laquelle nous nous sommes trouvées pour produire la série textes / images de Figures Fugitives, en nous plongeant dans le texte anonyme du VIII/IX siècle irlandais: chaîne et trame, passé et présent, voix et lettre, texTimage…
(Adresser les demandes d’inscription à la Librairie Le Bel Aujourd’hui. Nous vous demanderons sur place 7 euros de participation aux frais)
Merci à Odile Riot et à l’équipe du Bel Aujourd’hui pour son accueil et sa gentillesse: ne manquez pas de bader dans les rayons de cette belle librairie indépendante! (19 rue Ernest Renan, 22220, Tréguier – 02 96 92 20 24)
les livres d’artiste pour moi c’est une catégorie à part… c’est hors catégorie, c’est hors langue… c’est pas un plus un… c’est pas plus/c’est surtout pas moins… ça vient de très loin… ça vient d’avant ma mémoire vivante (d’avant que je parle)… la première fois que j’ai entendu le mot « livre d’artiste » j’ai pas su ce que ça voulait dire/ce que ça pouvait être… j’en suis toujours au même point et je ne veux pas en savoir davantage… c’est dans et de cette méconnaissance-là qu’avec Bernard Michez on fait un livre d’artiste en 2000… lui la peinture moi le texte… trois exemplaires seulement édités par Alain Pecquet à La layette noire (un pour chacun)… on n’a jamais recommencé
Michel Fadat
J’aime bien l’affiche!
Je ne pourrai être présente et je le regrette.
Bon tout.
Martine