Nous ne pouvons pas revenir à la veille de cette chose qui est advenue ce jour là. Nous pouvons réécouter les paroles vivantes qui se sont dites après. Il y en a eu beaucoup, qu’il faut garder en mémoire, car trop de paroles qui se disent maintenant sont mortes, et ne servent à rien: ni à se souvenir, ni à consoler, ni à penser.
J’ai aimé, le lundi qui a suivi les attentats à Paris et à Saint-Denis, cette émission de l’avant-nuit, sur France culture. Je la fais circuler.